Citations preferées

Quelles sont vos citations préferées ? Pour ma part:

"De toutes les choses me concernant pouvant t'effrayer, tu t'inquiète de ma manière de conduire"
-Edward Cullen


" Mike : Tu n’as jamais la neige tomber ?
Bella : bien sur que si. (Pause) A la télé. "

"Bella: - Quel imbécile cet agneau…
Edwy: - Quel fou ce lion… quel masochiste… "
(qui la connait pas celle là ? xD)

J’étais à peu près certaine de trois choses. Un, Edward était un vampire ; deux, une part de lui – dont j’ignorais la puissance – désirait s’abreuver de mon sang ; et trois, j’étais follement et irrévocablement amoureuse de lui.
-Bella Swan-

Tu es ma vie maintenant. Tu es la seule chose qui me blesserait si je venais à te perdre.
-Bella Swan-

Pour être parfaitement honnête, elle ne sera disponible aucun soir à partir du moment où je ne suis pas moi-même concerné.
-Edward Cullen-

De nouveau le crépuscule. Une autre fin, qu'importe que le jour soit parfait, il doit finir.
-Edward Cullen-

Edward : Est-ce que je t’éblouis ?
Bella : Fréquemment
-Bella Swan et Edward Cullen-

Je renonce à être sage. Désormais, je ferai que ce que je veux, et tant pis pour les conséquences.
-Edward Cullen-

Bella: Tu devrais arrêter de faire ça aux gens. Ce n'est pas du jeu.
Edward: Faire quoi?
Bella: Les éblouir ainsi. À l'heure qu'il est, elle est en train de suffoquer dans les cuisines.
-Edward Cullen et Bella Swan-

"Si je savais rêver, je ne rêverais que de toi. Et je n'en n'aurais pas honte."
-Edward Cullen-

"Il a dit que tu était jolie. C'est presque insultant. Tu es beaucoup plus que ça."
-Edward Cullen-

" Ma route était tracée, ne me restait plus qu’à la suivre. Bref, au lieu de paniquer, je fermai les yeux et passai les vingt minutes que dura le trajet en compagnie d’Edward.
Je rêvai que j’étais restée à l’aéroport pour l’accueillir. Je me serais dressée sur la pointe des pieds pour apercevoir au plus vite son visage. Il aurait fendu la foule nous séparant avec grâce et aisance, puis, toujours aussi téméraire, j’aurais couru me jeter dans ses bras de marbre avec un immense sentiment de sécurité. Je me demandais où nous serions allés. Quelque part dans le Nord, pour qu’il puisse sortir au grand jour. Ou dans un endroit très reculé où nous aurions lézardé ensemble au soleil. Je l’imaginai sur la plage, sa peau étincelant comme la mer. Nous serions restés cachés autant de temps que nécessaire - ça n’aurait pas eu d’importance. Être coincée dans un hôtel avec lui aurait été une sorte de paradis sur terre. J’avais encore tellement de questions à lui poser. J’aurais pu lui parler à l’infini, sans jamais dormir, sans jamais le quitter. Son visage m’apparaissait de façon si claire, à présent… j’entendais presque sa voix. Et, malgré l’horreur et le désespoir, je fus heureuse, l’espace d’un instant. Plongée dans la rêverie qui me permettait d’oublier la réalité, j’avais perdu la notion du temps. "
-Bella Swan-